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Appel à la Victoire - 60 ans de Paix en Europe - Oblit 7/5/2005

75,00 €
TTC
Quantité
Disponible

Enveloppe grand format à tirage limité (150 exemplaires émis)

Sujet : APPEL à la VICTOIRE 1945 - 2005 - 60 ans de Paix en Europe

comporte un affranchissement mixte :

Marianne de Londres 1945 (n° YT 689 et 691),

Appel à la Résistance 1990 (n° YT 2656),

Mal. de Lattre de Tassigny, Berlin 8 mai 1945 (n° YT 1639),

Marianne des Français (n° YT 3966).

Oblitération Reims du 7 mai 2005 - 60e anniversaire de la Capitulation Allemande.

Libération des Camps 1945-2005 (n° YT 3781).

Oblitération Reims du 7 mai 2005 - La Paix pour bâtir l'Europe.

Vignette Libération - Mal. de Lattre de Tassigny - Gal. de Gaulle.

Illustration de l'enveloppe : Acte de capitulation de l'Allemagne nazie signé à Reims le 7 Mai à 2 h 45, ratifié à Berlin dans la nuit du 8 au 9 mai 1945. 

Au dos de l'enveloppe : tampon du bureau du courrier du Conseil de l'Europe 

Tirage numéroté N° 20/150

Fin de la Seconde Guerre Mondiale en Europe 

La Seconde Guerre mondiale se termine officiellement en Europe le 8 mai 1945, à 23h01, au lendemain de la capitulation sans condition de l'Allemagne nazie. 

Hitler s'étant suicidé une semaine plus tôt, le 30 avril, dans son bunker de Berlin, c'est à l'amiral Dönitz qu'il revient de demander la cessation des combats aux puissances alliées, les Anglo-Saxons et les Soviétiques. 

Karl Dönitz envoie le général Alfred Jodl, chef d'état-major de la Wehrmacht, à Reims (France), au quartier général des forces alliées du général Dwight Eisenhower.
Le général Alfred Jodl signe dans la nuit du 7 au 8 mai, à 2h 41, la capitulation sans condition de l'Allemagne. Côté vainqueurs, l'acte de capitulation est signé par le général Walter Bodell-Smith, chef d'état-major du général Eisenhower, commandant suprême des Alliés, et le général soviétique Ivan Sousloparov. Le général français François Sevez, chef d'état-major du général de Gaulle, est invité à le contresigner à la fin de la cérémonie en qualité de simple témoin. 

La cessation des combats est fixée au lendemain 8 mai, à 23h 01 (mais certaines troupes allemandes résisteront au-delà de cette date, notamment dans la place forte de Saint-Nazaire). 

Pour Staline, l'allié soviétique, il ne suffit pas que la capitulation ait été signée à Reims, dans la zone occupée par les Anglo-Saxons. Il faut aussi qu'elle soit ratifiée à Berlin, au coeur du IIIe Reich, et accessoirement dans la zone d'occupation soviétique. Cette formalité est accomplie le lendemain 8 mai 1945, à 15 heures, au quartier général des forces soviétiques du maréchal Joukov, dans le quartier de Karlshorst. 

Après cela, les chefs d'État et de gouvernement alliés, dont le général de Gaulle, peuvent annoncer simultanément sur les radios la cessation officielle des hostilités en Europe. Aux États-Unis, l'annonce de la victoire revient au président Harry Truman, son prédécesseur Franklin Roosevelt étant mort d'épuisement et de maladie le mois précédent, le 14 avril 1945. 

La capitulation n'est pas la paix. Après la capitulation de l'Allemagne nazie, les hostilités se poursuivent avec acharnement dans l'océan Pacifique contre le Japon de l'empereur Showa. La fin véritable de la seconde guerre mondiale n'a lieu que le 2 septembre 1945, près de quatre mois plus tard, avec la capitulation du Japon suite aux deux explosions atomiques de Hiroshima et Nagasaki, les 6 et 9 août 1945.  
(source : www.herodote.net)